Archives des Intelligence Artificielle - Advixo https://sitemaps.advixo.fr/category/intelligence-artificielle/ Éditions et Photographie Thu, 17 Jul 2025 14:01:19 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://advixo.com/wp-content/uploads/2024/08/Advixo-New-Logo-500x500-1-64x64.png Archives des Intelligence Artificielle - Advixo https://sitemaps.advixo.fr/category/intelligence-artificielle/ 32 32 WeTransfer recule sur l’IA après la colère des photographes https://advixo.com/wetransfer-recule-sur-lia-apres-la-colere-des-photographes/ https://advixo.com/wetransfer-recule-sur-lia-apres-la-colere-des-photographes/#respond Thu, 17 Jul 2025 14:00:49 +0000 https://advixo.com/?p=3726 WeTransfer forcé de modifier ses conditions d'utilisation après des protestations de photographes inquiets que leurs fichiers soient utilisés pour entraîner des IA.

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WeTransfer, une plateforme populaire de partage de fichiers utilisée par de nombreux photographes, a été contrainte de modifier sa politique après avoir suscité une forte controverse concernant l’utilisation potentielle des contenus de ses utilisateurs pour entraîner des modèles d’intelligence artificielle.

La polémique a éclaté suite à une récente mise à jour des conditions d’utilisation de WeTransfer qui semblait accorder à l’entreprise des droits étendus sur le contenu des utilisateurs. Une clause particulièrement controversée mentionnait l’utilisation des données pour “améliorer les performances des modèles d’apprentissage automatique qui renforcent notre processus de modération de contenu“. Cette formulation a alarmé les professionnels créatifs, notamment les photographes, dont certains ont interprété ces termes comme donnant à WeTransfer la permission d’utiliser, vendre ou partager leurs fichiers avec des entreprises d’IA.

Face à l’inquiétude croissante exprimée sur les réseaux sociaux, WeTransfer a publié plusieurs clarifications et révisé la section litigieuse de ses conditions. “Nous n’utilisons pas l’apprentissage automatique ou toute forme d’IA pour traiter le contenu partagé via WeTransfer, et nous ne vendons pas de contenu ou de données à des tiers“, a déclaré une porte-parole de l’entreprise.

L’entreprise explique que la clause originale était destinée à couvrir l’utilisation potentielle de l’IA dans les processus internes de modération de contenu, et non pour entraîner des modèles d’IA commerciaux. WeTransfer reconnaît que les termes n’étaient peut-être pas suffisamment clairs concernant le fait que les utilisateurs conservent la propriété et le contrôle de leur contenu.

Les nouvelles conditions, qui entrent en vigueur le 8 août 2025 pour les utilisateurs existants, stipulent désormais que les utilisateurs accordent à WeTransfer “une licence libre de redevances pour utiliser votre contenu aux fins d’exploitation, de développement et d’amélioration du service“. L’entreprise a également supprimé toute mention de l’apprentissage automatique pour éviter de futures incompréhensions. Cette révision vise à rassurer les créateurs sur le fait que leurs œuvres ne seront pas utilisées pour alimenter des systèmes d’IA externes.

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IA : Triste victoire juridique contre le droit d’auteur aux USA https://advixo.com/ia-victoire-juridique-contre-le-droit-dauteur-aux-usa/ https://advixo.com/ia-victoire-juridique-contre-le-droit-dauteur-aux-usa/#respond Wed, 25 Jun 2025 13:13:17 +0000 https://advixo.com/?p=3639 Un juge fédéral américain a statué qu'Anthropic peut légalement entraîner ses modèles d'IA sur des œuvres protégées par le droit d'auteur sans permission en invoquant le "fair use", une décision historique qui pourrait influencer tous les futurs litiges entre artistes et entreprises d'intelligence artificielle.

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Article mis à jour le 26 juin 2025 suite à une nouvelle décision similaire (hélas…).

Un juge fédéral américain vient de rendre une décision majeure en faveur des entreprises d’intelligence artificielle dans une affaire de droits d’auteur. Le juge William Alsup du district nord de la Californie a statué qu’Anthropic, la société derrière l’IA Claude, peut légalement entraîner ses modèles sur des œuvres protégées par le droit d’auteur sans obtenir l’autorisation des créateurs, invoquant la doctrine du “fair use” (usage équitable).

Cette décision fait suite à une plainte déposée par trois auteurs – Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson – qui accusaient Anthropic d’avoir utilisé leurs œuvres protégées pour entraîner ses modèles Claude sans permission. Les plaignants reprochaient notamment à l’entreprise d’avoir acheté des livres physiques, de les avoir numérisés et d’avoir intégré leur contenu dans ses processus d’entraînement.

Le juge Alsup a considéré que cette utilisation était “exceptionnellement transformative” et constituait un usage équitable selon la loi américaine sur le droit d’auteur. Il compare cette pratique à celle d’une personne qui lirait tous les classiques modernes, les mémoriserait et s’inspirerait ensuite de leur style pour créer quelque chose de nouveau, ce qui ne violerait pas le droit d’auteur. Selon lui, Anthropic utilise les œuvres existantes non pas pour les reproduire ou les remplacer, mais pour “prendre un virage radical et créer quelque chose de différent”.

Le magistrat rejette également l’argument selon lequel l’entraînement d’IA conduirait à “une explosion d’œuvres concurrentes”, comparant cette crainte à celle de se plaindre que former des écoliers à bien écrire créerait une concurrence déloyale.

Cependant, la décision n’est pas entièrement favorable à Anthropic. Le juge a identifié des problèmes concernant le stockage de plus de sept millions de livres piratés dans une bibliothèque centrale, pratique qui ne bénéficie pas de la protection du fair use. Un second procès aura lieu plus tard cette année pour déterminer les dommages-intérêts que l’entreprise pourrait devoir payer, pouvant atteindre 150 000 dollars par œuvre selon la loi américaine.

Cette décision historique pourrait influencer considérablement les futurs litiges opposant artistes et entreprises d’IA, offrant à ces dernières une défense juridique solide basée sur le fair use.

Article dans The Verge.

Mise à jour : Un juge fédéral américain vient à nouveau de donner raison à un autre acteur de l’IA, Meta, accusé de violation du droit d’auteur à travers l’utilisation d’œuvres à des fins d’entraînement de son modèle Llama sans la permission de leurs créateurs. C’est encore le fair use qui est mis en avant dans le rendu du jugement. Le juge a toutefois mentionné que « cette décision ne signifie pas que l’utilisation par Meta de contenus protégés par le droit d’auteur (…) est légale » et a par ailleurs adressé une mise en garde quant aux risques que pourrait faire peser l’IA sur l’économie du livre si elle « rend possible la création d’un flot potentiellement continu d’œuvres concurrentes qui pourraient nuire » à celle-ci.

Article dans Le Figaro.

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Meta assigné en justice pour respecter le droit d’auteur https://advixo.com/meta-assigne-en-justice-pour-respecter-le-droit-dauteur/ https://advixo.com/meta-assigne-en-justice-pour-respecter-le-droit-dauteur/#respond Fri, 28 Mar 2025 10:19:31 +0000 https://advixo.com/?p=2493 La SGDL, le SNAC et le SNE assignent Meta pour imposer le respect du droit d’auteur aux développeurs d’outils d’intelligence artificielle générative.

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La Société des Gens de Lettres (SGDL), le Syndicat national des auteurs et des compositeurs (SNAC) et le Syndicat national de l’édition (SNE) agissent en justice contre Meta devant la 3e chambre du Tribunal judiciaire de Paris en raison d’une utilisation massive d’œuvres sous droits, sans autorisation de leurs auteurs et éditeurs, afin d’entraîner son modèle d’intelligence artificielle générative. 

Cette action en justice s’inscrit dans un contexte de régulation au niveau européen, l’AI Act ayant rappelé la nécessité pour les sociétés éditrices de solutions d’intelligence artificielle générative de respecter le droit d’auteur et d’assurer la transparence sur les sources utilisées pour développer des modèles de fondation. À l’occasion du Sommet pour l’action sur l’Intelligence Artificielle, 38 organisations internationales représentant l’ensemble des secteurs créatifs et culturels ont également publié une charte culture et innovation afin de défendre le droit d’auteur et la propriété intellectuelle face aux IA.

Les plaignants réclament le respect du droit d’auteur et, notamment, le retrait complet des répertoires de données créés sans autorisation et utilisés pour entraîner les IA.

Lire le communiqué du 12 Mars 2025.

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Décision judiciaire : les images générées par IA ne bénéficient pas de protection par droit d’auteur https://advixo.com/decision-judiciaire-les-images-generees-par-ia-ne-beneficient-pas-de-protection-par-droit-dauteur/ https://advixo.com/decision-judiciaire-les-images-generees-par-ia-ne-beneficient-pas-de-protection-par-droit-dauteur/#respond Sat, 22 Mar 2025 12:49:52 +0000 https://advixo.com/?p=2439 La cour d'appel fédérale américaine a statué à l'unanimité que les images créées uniquement par l'intelligence artificielle ne peuvent pas bénéficier de la protection du droit d'auteur, car la loi exige qu'une œuvre soit autorisée en première instance par un être humain.

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Une Cour d’appel fédérale américaine a statué à l’unanimité que les images créées uniquement par des machines ne peuvent pas bénéficier de la protection du droit d’auteur. Selon la Cour d’appel du District de Columbia, “la Loi sur le droit d’auteur de 1976 exige que toute œuvre éligible soit autorisée en première instance par un être humain“. Cette décision du 18 mars 2024 a été rédigée par la juge Patricia A. Millett.

L’affaire concerne le Dr Stephen Thaler, un informaticien qui a créé une intelligence artificielle générative nommée “Creativity Machine”, laquelle a produit une image intitulée “A Recent Entrance to Paradise”. Le Bureau américain du droit d’auteur (U.S. Copyright Office) a rejeté la demande de M. Thaler, car celui-ci avait inscrit Creativity Machine comme seul auteur de l’œuvre.

Après ce refus, Thaler a intenté une action en justice. Un tribunal fédéral (la Cour de district des États-Unis pour le District de Columbia) a confirmé la décision du U.S. Copyright Office et la Cour d’appel fédérale a ensuite maintenu ce jugement. Suite à cette décision, l’avocat de Thaler, Ryan Abbott, a déclaré qu’ils étaient “fortement en désaccord” avec ce jugement et qu’ils comptaient faire appel. Le U.S. Copyright Office estime quant à lui que “la cour est parvenue au bon résultat“.

Il est important de noter que le U.S. Copyright Office autorise l’enregistrement d’œuvres créées par des auteurs humains utilisant l’intelligence artificielle. Le débat sur la part de contribution de l’IA dans une œuvre d’auteur humain n’était pas au cœur de cette affaire, puisque Thaler avait désigné Creativity Machine comme unique auteur.

La cour a souligné que tout changement dans la législation sur le droit d’auteur relève de la compétence du Congrès. “Même si l’exigence d’un auteur humain devait un jour entraver la création d’œuvres originales, ce serait une question de politique que le Congrès devrait traiter“, a écrit la juge Millett dans son avis de 24 pages.

Comme l’a résumé la juge Millett, “les machines sont des outils, pas des auteurs“. Accorder le statut d’auteur à un ordinateur ou à une machine rendrait absurde l’interprétation de la Loi sur le droit d’auteur, car les machines n’ont ni enfants, ni nationalité, ne meurent pas et ne possèdent pas de biens.

Accès au jugement ici.

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Pour une IA respectueuse du droit d’auteur : Signer la tribune des auteurs https://advixo.com/pour-une-ia-respectueuse-du-droit-dauteur/ https://advixo.com/pour-une-ia-respectueuse-du-droit-dauteur/#respond Tue, 21 Jan 2025 10:51:33 +0000 https://advixo.com/?p=1958 Un appel commun lancé par les organisations d’artistes et d’auteurs : ADAGP, Adami, Sacem, Scam, SGDL, Spedidam

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Un appel commun vient d’être lancé par les organisations d’artistes et d’auteurs : ADAGP, Adami, Sacem, Scam, SGDL, Spedidam

Nous relayons la communication de la SGDL (Société des Gens De Lettres) :

La France accueillera les 10 et 11 février prochain le 3ème Sommet mondial de l’intelligence artificielle (IA). Des centaines de chefs d’État et de gouvernement, d’universitaires, de dirigeants d’entreprises et de représentants de la société civile se rassembleront à Paris pour débattre car l’intelligence artificielle questionne les fondements de la pensée et suscite autant d’intérêt que d’appréhension.

En tant qu’auteurs, nous accueillons avec satisfaction l’initiative de ce Sommet et souhaitons qu’il se penche sur la question centrale du droit d’auteur et des droits voisins. En effet, dans la longue histoire du rapport entre art et technologie, de l’imprimerie au streaming, jamais une innovation n’avait eu la capacité de remettre en cause le principe même de la création humaine.

Notre démarche ne s’inscrit pas dans une opposition inévitablement stérile entre les acteurs de l’intelligence artificielle et ceux de la culture, mais dans l’exigence d’un débat respectueux des intérêts et des droits de tous. C’est au prix d’une reconnaissance mutuelle des avancées que représente l’IA et du bien-fondé des droits de propriété intellectuelle que pourra se mettre en place un modèle vertueux sur le plan à la fois éthique et économique

Dans cette perspective, nous tenons à rappeler un principe simple :

L’utilisation sans notre consentement de notre talent et de notre travail pour l’entraînement de l’IA générative représente une atteinte inacceptable au respect de nos œuvres et de notre travail artistique.

Pourtant force est de constater que nos œuvres et nos interprétations sont aujourd’hui utilisées par les systèmes d’IA pour s’entraîner sans notre autorisation et sans aucune contrepartie financière. Par ailleurs, le risque de substitution, induit par les contenus générés par l’IA, est de plus en plus prégnant.

Puisque la question de la propriété intellectuelle sera abordée durant ce Sommet, nous en appelons solennellement à la responsabilité de tous ses participants. Nous nourrissons en effet l’espoir que notre appel contribue à inspirer des réflexions lucides, équilibrées et concrètes, propices à l’élaboration de solutions justes et pérennes.

Vous pouvez signer ici la tribune des artistes et des auteurs.

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OpenAI n’a pas tenu sa promesse aux photographes https://advixo.com/openai-na-pas-tenu-sa-promesse-aux-photographes/ https://advixo.com/openai-na-pas-tenu-sa-promesse-aux-photographes/#respond Wed, 08 Jan 2025 16:56:07 +0000 https://advixo.com/?p=1865 OpenAI n’a pas respecté son engagement concernant Media Manager, un outil promis pour 2025 qui devait permettre aux photographes d’exclure leurs œuvres des données d’entraînement de l’entreprise. Annoncé en mai dernier, cet outil était censé identifier les contenus protégés par le droit d’auteur, incluant textes, images, sons et vidéos, dans le but d’apaiser les critiques […]

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OpenAI n’a pas respecté son engagement concernant Media Manager, un outil promis pour 2025 qui devait permettre aux photographes d’exclure leurs œuvres des données d’entraînement de l’entreprise. Annoncé en mai dernier, cet outil était censé identifier les contenus protégés par le droit d’auteur, incluant textes, images, sons et vidéos, dans le but d’apaiser les critiques et d’éviter les litiges liés aux droits d’auteur.

Depuis son annonce, les nouvelles concernant Media Manager sont inexistantes. Un ancien employé d’OpenAI a même confié à TechCrunch que le projet ne semblait pas être une priorité pour l’entreprise. Lors du lancement de DALL-E 3, OpenAI avait proposé aux photographes de retirer leurs œuvres des données d’entraînement, mais le processus s’est révélé fastidieux, nécessitant la soumission individuelle de chaque œuvre avec des descriptions détaillées.

Ed Newton-Rex, fondateur de Fairly Trade, critique cette approche qui fait porter la responsabilité aux créateurs. Il souligne que la majorité des créateurs ne seront même pas informés de l’existence de cet outil, bien qu’il soit utilisé pour justifier l’exploitation massive de leur travail créatif sans leur consentement.

La question de l’IA et des données d’entraînement reste particulièrement sensible. De nombreux créateurs de contenu se sentent lésés par l’utilisation non autorisée et non rémunérée de leurs œuvres pour développer des produits commerciaux. Bien qu’OpenAI ait fixé l’échéance à 2025, l’entreprise a cessé de communiquer sur Media Manager. La dernière mise à jour, datant d’août, indiquait simplement que l’outil était “toujours en développement”.

Selon l’avocat en propriété intellectuelle Andrian Cyhan, Media Manager est un projet ambitieux, comparable aux systèmes d’identification de contenu de YouTube et TikTok qui rencontrent déjà des difficultés. Il souligne les défis liés à la conformité avec les protections légales des créateurs et les exigences potentielles de rémunération, particulièrement dans un contexte juridique international en constante évolution.

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La gestion de l’ISO en photographie numérique https://advixo.com/la-gestion-de-iso-en-photo-numerique/ https://advixo.com/la-gestion-de-iso-en-photo-numerique/#respond Fri, 27 Sep 2024 16:46:55 +0000 https://advixo.com/?p=1026 La sensibilité ISO est un paramètre crucial en photographie numérique, permettant d’ajuster la sensibilité du capteur à la lumière. Dans les appareils photo numériques professionnels modernes, sa gestion fait appel à des technologies sophistiquées pour optimiser la qualité d’image sur une large plage de valeurs ISO. Fonctionnement du capteur Au cœur du processus se trouve […]

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La sensibilité ISO est un paramètre crucial en photographie numérique, permettant d’ajuster la sensibilité du capteur à la lumière. Dans les appareils photo numériques professionnels modernes, sa gestion fait appel à des technologies sophistiquées pour optimiser la qualité d’image sur une large plage de valeurs ISO.

Fonctionnement du capteur

Au cœur du processus se trouve le capteur d’image, généralement de type CMOS (Complementary Metal Oxide Semiconductor) dans les appareils haut de gamme. Ce capteur est composé de millions de photosites, chacun correspondant à un pixel de l’image finale. Lorsque la lumière frappe ces photosites, elle génère une charge électrique proportionnelle à son intensité.

Ce capteur CMOS utilisé dans les appareils photo numériques professionnels modernes est un composant électronique très sophistiqué basé sur l’effet photoélectrique. Chaque photosite du capteur est composé d’une photodiode et d’un circuit de lecture. La photodiode convertit les photons incidents en paires électron-trou, générant ainsi une charge électrique. Cette charge est accumulée dans un puits de potentiel formé par une capacité MOS (Metal-Oxide-Semiconductor). La profondeur de ce puits, appelée “full well capacity”, détermine la capacité maximale de charge que peut contenir chaque pixel, influençant directement la plage dynamique du capteur.

Le processus de lecture implique quant à lui un transfert de charge vers un amplificateur de lecture (de type source follower) intégré à chaque pixel. Ce signal analogique est ensuite converti en signal numérique par un convertisseur analogique-numérique (CAN ou ADC en anglais). La sensibilité ISO est principalement contrôlée en ajustant le gain de l’amplificateur de lecture ou en modifiant la durée d’intégration de la charge. Les capteurs avancés utilisent souvent une architecture de pixel à conversion (PCC – Pinned Photodiode with Capacitive Transfer), qui améliore l’efficacité quantique et réduit le bruit de lecture. De plus, certains capteurs intègrent des technologies comme le “back-side illumination” (BSI) pour augmenter la surface photosensible, ou le “dual gain” pour optimiser la plage dynamique à différentes sensibilités ISO. La linéarité de la réponse du capteur est cruciale pour une reproduction fidèle des tons, et des techniques de correction de non-linéarité sont appliquées dans le traitement du signal. Enfin, des microlentilles sont placées au-dessus de chaque photosite pour concentrer la lumière et augmenter l’efficacité de capture, particulièrement importante pour les pixels de petite taille dans les capteurs haute résolution.

Amplification du signal

L’ajustement de la sensibilité ISO se fait principalement par amplification du signal électrique généré par le capteur. Plus l’ISO est élevé, plus le signal est amplifié, permettant ainsi de capturer des images dans des conditions de faible luminosité. Cette amplification se produit avant la conversion du signal analogique en données numériques.

L’amplification du signal dans les appareils photo numériques professionnels est un processus complexe qui intervient à plusieurs niveaux du pipeline de traitement de l’image. Au niveau du capteur, l’amplification primaire se produit dans le circuit de lecture de chaque pixel. Comme expliqué précédemment, ce circuit comprend un amplificateur de type source follower qui convertit la charge accumulée en tension.

Le gain de cet amplificateur peut être ajusté pour modifier la sensibilité ISO effective. Les capteurs modernes utilisent souvent une architecture à double gain (dual gain) où deux circuits d’amplification distincts sont intégrés à chaque pixel, l’un optimisé pour les faibles sensibilités (faible bruit, grande plage dynamique) et l’autre pour les hautes sensibilités (gain élevé). La commutation entre ces circuits se fait généralement autour de l’ISO 400-800.

Après la lecture du pixel, le signal analogique passe par un amplificateur à gain variable (VGA – Variable Gain Amplifier) avant d’atteindre le convertisseur analogique-numérique (CAN ou ADC). Le gain du VGA est précisément contrôlé pour ajuster la sensibilité ISO. Les convertisseurs ADC utilisés sont généralement de type pipeline ou SAR (Successive Approximation Register) avec une résolution de 14 à 16 bits pour préserver la plage dynamique. Post-numérisation, une amplification numérique supplémentaire peut être appliquée, particulièrement pour les valeurs ISO étendues. Cette amplification numérique utilise des algorithmes sophistiqués de traitement du signal, incluant des techniques de réduction du bruit adaptatif et de préservation des détails. Les processeurs d’image propriétaires (comme le DIGIC de Canon ou l’EXPEED de Nikon) emploient des unités de calcul spécialisées pour ces opérations, souvent assistées par des accélérateurs matériels dédiés au traitement du bruit. La courbe de réponse de l’amplification n’est pas toujours linéaire ; elle peut être optimisée pour certaines valeurs ISO couramment utilisées. De plus, des techniques de compression du signal (comme l’encodage logarithmique) peuvent être appliquées pour étendre la plage dynamique effective à hautes sensibilités. Enfin, les appareils haut de gamme intègrent souvent des systèmes de refroidissement actif ou passif pour minimiser le bruit thermique qui devient plus prononcé avec l’amplification du signal.

Processeur d’image dédié

Les appareils photo professionnels sont équipés de processeurs d’image puissants, souvent propriétaires (comme le DIGIC de Canon, l’EXPEED de Nikon ou le TruePic d’Olympus). Ces processeurs jouent un rôle crucial dans le traitement du signal et la réduction du bruit, particulièrement à des valeurs ISO élevées.

Ces processeurs sont des systèmes de type SoC hautement spécialisés, conçus pour le traitement en temps réel des données d’image brutes. Ces processeurs sont généralement basés sur une architecture RISC (Reduced Instruction Set Computing) optimisée pour les opérations de traitement d’image, avec des unités de calcul vectoriel et des accélérateurs matériels dédiés. Ils intègrent souvent des coprocesseurs neuronaux pour les tâches d’apprentissage automatique, comme la réduction de bruit avancée et la reconnaissance de scènes.

L’architecture du processeur comprend généralement plusieurs cœurs de calcul, une mémoire cache rapide, et des bus à haute bande passante pour gérer le flux massif de données provenant du capteur. Dans le contexte de la gestion ISO, le processeur effectue plusieurs opérations cruciales : la correction de la non-linéarité du capteur, l’application de tables de correspondance (LUT) spécifiques à l’ISO pour l’optimisation du contraste et de la saturation, et la mise en œuvre d’algorithmes de réduction du bruit adaptatifs.

Ces algorithmes peuvent inclure des techniques de filtrage spatial et des méthodes de transformée (ou décomposition) en ondelettes. Pour les ISO élevés, le processeur peut activer des modes de fusion d’images, capturant et combinant plusieurs expositions pour améliorer le rapport signal/bruit. Les processeurs modernes intègrent également des unités de traitement de signal numérique (DSP) optimisées pour les opérations de convolution et de transformée de Fourier rapide (FFT), essentielles pour le filtrage avancé du bruit.

La gestion de la couleur est particulièrement critique à haute sensibilité ; le processeur applique donc des corrections chromatiques dépendantes de l’ISO, utilisant des profils de couleur spécifiques stockés dans sa mémoire interne. De plus, ces processeurs implémentent souvent des algorithmes de super-résolution pour maintenir la netteté apparente à des ISO élevés. L’efficacité énergétique est une considération majeure, avec l’utilisation de techniques comme le DVFS (Dynamic Voltage and Frequency Scaling) pour optimiser la consommation en fonction de la charge de traitement. Enfin, le processeur gère l’interface avec le firmware de l’appareil, permettant des mises à jour logicielles qui peuvent améliorer les performances ISO au fil du temps, notamment via l’optimisation des algorithmes de traitement.

Techniques de réduction du bruit

L’augmentation de la sensibilité ISO s’accompagne inévitablement d’une augmentation du bruit numérique. La réduction du bruit dans les appareils photo numériques professionnels modernes fait appel à un ensemble sophistiqué de techniques algorithmiques et matérielles, particulièrement cruciales à haute sensibilité ISO. Ces techniques peuvent être classées en plusieurs catégories :

Traitement spatial

Le processeur analyse les pixels environnants pour détecter et réduire le bruit tout en préservant les détails.

Les méthodes spatiales incluent des filtres adaptatifs avancés tels que le filtre bilatéral non local (NLM – Non-Local Means), qui exploite les similitudes non locales dans l’image pour préserver les détails tout en réduisant le bruit. Des variantes comme le filtre BM3D (Block-Matching and 3D filtering) regroupent des patches similaires dans l’image pour un débruitage collaboratif.

Les techniques de seuillage dans le domaine des ondelettes, utilisant des transformées discrètes en ondelettes (DWT), permettent une réduction du bruit multi-échelle, avec des seuils adaptatifs en fonction de l’ISO et des caractéristiques locales de l’image.

Traitement temporel

Certains appareils peuvent capturer plusieurs images en rafale et les combiner pour réduire le bruit.

Ces méthodes temporelles, applicables en mode rafale ou vidéo, incluent l’alignement sub-pixel d’images multiples suivi d’une fusion pondérée, où le poids de chaque image est déterminé par une estimation de la qualité locale. Des techniques avancées comme le “Temporal Denoising by Motion Compensation” utilisent l’estimation de mouvement pour aligner précisément les trames avant la fusion.

Apprentissage automatique

Des algorithmes basés sur l’IA sont de plus en plus utilisés pour une réduction du bruit plus intelligente et efficace.

Ces approches basées sur l’apprentissage automatique, de plus en plus prévalentes, utilisent des réseaux de neurones convolutifs profonds (CNN) entraînés sur de vastes ensembles de données d’images bruitées et propres. Des architectures comme U-Net ou les réseaux génératifs adverses (GAN) sont adaptées pour le débruitage, avec des variations spécifiques à l’ISO intégrées dans l’architecture du réseau.

Ces modèles peuvent être optimisés pour différentes plages ISO, avec des commutations dynamiques entre les modèles en fonction de la sensibilité utilisée. La réduction du bruit chromatique fait l’objet d’un traitement spécial, souvent avec une séparation des canaux de luminance et de chrominance, permettant un filtrage plus agressif sur la chrominance tout en préservant les détails de luminance.

Des techniques de démosaïquage adaptatif au bruit sont également employées pour optimiser l’interpolation des couleurs à partir des données du capteur. Au niveau matériel, certains capteurs intègrent des circuits de réduction du bruit analogique avant la conversion ADC, comme la technologie de “lecture à faible bruit” qui minimise le bruit de reset. Les processeurs d’image implémentent souvent des pipelines de traitement parallèle pour appliquer simultanément plusieurs techniques de réduction du bruit, avec une fusion intelligente des résultats basée sur des métriques de qualité d’image. Enfin, des approches hybrides combinant traitement traditionnel et apprentissage automatique sont de plus en plus courantes, permettant une adaptation fine aux caractéristiques spécifiques du bruit à différentes sensibilités ISO.

ISO natif vs ISO étendu

Les appareils professionnels distinguent souvent les valeurs ISO natives de celles étendues. Les ISO natifs correspondent aux sensibilités que le capteur peut atteindre par amplification directe du signal. Les ISO étendus (souvent notés “H” pour High) sont obtenus par un traitement logiciel supplémentaire, au détriment parfois de la qualité d’image.

Plage dynamique et ISO dual

Les capteurs modernes intègrent souvent une technologie d’ISO dual. Cette innovation permet d’optimiser la plage dynamique en utilisant deux circuits de lecture différents selon la sensibilité choisie. À basse sensibilité, le circuit privilégie la capture des hautes lumières, tandis qu’à haute sensibilité, il optimise le rendu des basses lumières.

Courbe de réponse ISO

Les fabricants calibrent soigneusement la courbe de réponse ISO de leurs appareils. Cette courbe n’est pas toujours linéaire et peut être ajustée pour offrir un comportement optimal à certaines valeurs ISO fréquemment utilisées (par exemple, ISO 100, 400, 1600).

ISO Auto ?

Dans le cas de l’ISO Auto, l’appareil ajuste automatiquement la sensibilité en fonction des conditions de prise de vue.

La gestion de l’ISO est étroitement liée aux autres paramètres d’exposition (vitesse d’obturation, ouverture) et aux modes de mesure de la lumière. Les algorithmes internes de l’appareil prennent en compte ces interactions pour optimiser l’exposition globale.

La fonctionnalité ISO Auto dans les appareils photo numériques professionnels est un système complexe d’ajustement dynamique de la sensibilité, intégrant des algorithmes avancés de mesure de la lumière et d’analyse de scène. Ce système fonctionne en synergie avec l’autofocus, la mesure d’exposition et la reconnaissance de scène pour optimiser la sensibilité en temps réel.

L’implémentation typique utilise un contrôleur PID (Proportionnel-Intégral-Dérivé), bien connu des automaticiens, ajusté pour minimiser les fluctuations rapides de l’ISO tout en réagissant promptement aux changements significatifs de luminosité. Le système intègre souvent une matrice de décision multidimensionnelle qui prend en compte non seulement la luminosité globale, mais aussi le contraste de la scène, la distribution des hautes lumières et des ombres, et la présence de sources de lumière ponctuelles. Des capteurs gyroscopiques peuvent être utilisés pour détecter les mouvements de l’appareil, permettant au système d’augmenter préemptivement l’ISO pour éviter le flou de bougé.

Cette fonctionnalité d’ISO Auto inclut généralement des paramètres utilisateur avancés, tels que la définition de limites ISO minimales et maximales, qui peuvent être spécifiques à la plage focale dans le cas des zooms. Certains appareils permettent de définir des courbes de réponse ISO personnalisées, où l’utilisateur peut spécifier la progression de l’ISO en fonction de la vitesse d’obturation et de l’ouverture. Des algorithmes de pondération temporelle sont employés pour lisser les transitions ISO lors des enregistrements vidéo, évitant les changements brusques de grain.

En mode rafale, le système peut prédire les changements de luminosité basés sur les images précédentes et ajuster l’ISO de manière prédictive. Les appareils haut de gamme intègrent souvent des modes d’ISO Auto spécifiques à certains types de prise de vue, comme un mode “Action” qui privilégie des vitesses d’obturation élevées au détriment d’une augmentation plus agressive de l’ISO, ou un mode “Paysage” qui maintient des ISO plus bas pour maximiser la plage dynamique. La fonctionnalité ISO Auto interagit également avec les systèmes de stabilisation d’image, ajustant dynamiquement les seuils de vitesse d’obturation en fonction de la focale et de l’efficacité de la stabilisation. Des techniques d’apprentissage automatique sont de plus en plus utilisées pour affiner le comportement de l’ISO Auto, en analysant les habitudes de l’utilisateur et les résultats des photos précédentes pour optimiser les décisions futures.

Enfin, dans les appareils les plus récents, l’ISO Auto peut travailler en conjonction avec des modes de capture multi-images, décidant dynamiquement de capturer et fusionner plusieurs images à basse sensibilité plutôt que d’augmenter l’ISO dans certaines situations de faible luminosité.

La gestion de la sensibilité ISO dans les appareils photo numériques professionnels modernes est le résultat d’une synergie entre hardware sophistiqué et software avancé. Les fabricants continuent d’innover dans ce domaine, repoussant les limites de la photographie en basse lumière tout en maintenant une qualité d’image élevée. Cette gestion complexe de l’ISO permet aux photographes professionnels de capturer des images dans une variété de conditions d’éclairage, élargissant ainsi leurs possibilités créatives.

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Anthropic Claude.ai vs Perplexity : lequel choisir ? https://advixo.com/anthropic-claude-ai-vs-perplexity-lequel-choisir/ https://advixo.com/anthropic-claude-ai-vs-perplexity-lequel-choisir/#respond Wed, 11 Sep 2024 08:47:21 +0000 https://advixo.com/?p=434 Claude.ai et Perplexity sont deux assistants conversationnels basés sur l’intelligence artificielle qui ont fortement gagné en popularité récemment. Bien qu’ils partagent certaines fonctionnalités de base, ils présentent des différences notables dans leur conception, leurs capacités et leurs cas d’utilisation. Claude.ai est développé par Anthropic et utilise leur modèle de langage propriétaire. Perplexity, quant à lui, […]

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Claude.ai et Perplexity sont deux assistants conversationnels basés sur l’intelligence artificielle qui ont fortement gagné en popularité récemment. Bien qu’ils partagent certaines fonctionnalités de base, ils présentent des différences notables dans leur conception, leurs capacités et leurs cas d’utilisation.

Claude.ai est développé par Anthropic et utilise leur modèle de langage propriétaire. Perplexity, quant à lui, s’appuie sur une combinaison de modèles, notamment GPT-3.5 d’OpenAI. Cette différence d’architecture sous-jacente influence leurs performances respectives.

Une distinction majeure réside dans la façon dont ces assistants accèdent à l’information. Claude.ai fonctionne avec une base de connaissances statique, mise à jour périodiquement. En revanche, Perplexity a la capacité de rechercher activement des informations sur internet en temps réel, lui permettant d’accéder à des données plus récentes.

Claude.ai excelle dans les tâches analytiques, la programmation et la rédaction créative. Il est particulièrement apprécié pour sa capacité à maintenir un contexte cohérent sur de longues conversations. Perplexity, de son côté, se distingue par sa capacité à fournir des réponses factuelles précises et à jour, en citant ses sources, ce qui n’est pas le cas de la plupart de ses concurrents.

En termes d’interface utilisation, celui de Claude.ai est minimaliste, privilégiant les interactions textuelles pures. Perplexity offre une interface plus riche, intégrant des éléments visuels et des liens vers les sources citées.

Claude.ai peut adapter son style de communication et son niveau de formalité selon les préférences de l’utilisateur, ce qui en fait un outil bien adapté au rédactionnel. Perplexity offre moins d’options de personnalisation, mais permet de choisir entre différents modes de recherche.

Anthropic met l’accent sur la confidentialité avec Claude.ai, en ne stockant pas les conversations des utilisateurs. Perplexity, du fait de son intégration avec des moteurs de recherche, peut soulever plus de questions en matière de confidentialité.

En conclusion, Claude.ai est particulièrement adapté pour des tâches complexes nécessitant une analyse approfondie, éventuellement sur des documents en local, comme la rédaction de rapports ou la résolution de problèmes. Perplexity excelle dans la recherche rapide d’informations factuelles et la veille d’actualités.

En terme d’usages quotidiens, Claude.ai peut devenir votre assistant personnel de synthèse et de rédaction, tandis que Perplexity peut remplacer votre moteur de recherche.

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