CoStar affirme avoir investi des milliards de dollars depuis sa création pour constituer la base de données photographiques immobilières la plus complète. L’entreprise emploie des milliers de photographes professionnels qui produisent annuellement plus de deux millions d’images originales, toutes détenues et protégées par CoStar.

Selon la plainte, Zillow aurait publié plus de 46 000 images de CoStar, dont beaucoup portent le filigrane distinctif de l’entreprise, affichant ces images plus de 250 000 fois sur sa seule plateforme. La situation s’aggrave par le fait que Zillow partage également ces photos sur Redfin et Realtor.com grâce à de nouveaux partenariats où elle fournit toutes les annonces d’appartements pour ces trois sites web.

CoStar estime que les dommages-intérêts potentiels pourraient dépasser un milliard de dollars. Cette affaire n’est pas la première pour Zillow en matière de violation de droits d’auteur : l’entreprise avait déjà été condamnée dans une affaire similaire impliquant le studio de photographie immobilière VHT, aboutissant à un règlement de plusieurs millions de dollars.

Andy Florance, PDG de CoStar, qualifie cette situation d’« scandaleuse », accusant Zillow de profiter de décennies de travail et d’investissements de CoStar. Il menace également de poursuivre Redfin et Realtor.com si ces sites ne retirent pas immédiatement les images concernées.

Cette affaire rappelle un précédent de 2019 où CoStar avait obtenu 500 millions de dollars de dommages-intérêts contre Xceligent pour la publication de 38 489 photos protégées par copyright, illustrant la détermination de l’entreprise à protéger sa propriété intellectuelle dans le secteur immobilier numérique.

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La polémique a éclaté suite à une récente mise à jour des conditions d’utilisation de WeTransfer qui semblait accorder à l’entreprise des droits étendus sur le contenu des utilisateurs. Une clause particulièrement controversée mentionnait l’utilisation des données pour “améliorer les performances des modèles d’apprentissage automatique qui renforcent notre processus de modération de contenu“. Cette formulation a alarmé les professionnels créatifs, notamment les photographes, dont certains ont interprété ces termes comme donnant à WeTransfer la permission d’utiliser, vendre ou partager leurs fichiers avec des entreprises d’IA.

Face à l’inquiétude croissante exprimée sur les réseaux sociaux, WeTransfer a publié plusieurs clarifications et révisé la section litigieuse de ses conditions. “Nous n’utilisons pas l’apprentissage automatique ou toute forme d’IA pour traiter le contenu partagé via WeTransfer, et nous ne vendons pas de contenu ou de données à des tiers“, a déclaré une porte-parole de l’entreprise.

L’entreprise explique que la clause originale était destinée à couvrir l’utilisation potentielle de l’IA dans les processus internes de modération de contenu, et non pour entraîner des modèles d’IA commerciaux. WeTransfer reconnaît que les termes n’étaient peut-être pas suffisamment clairs concernant le fait que les utilisateurs conservent la propriété et le contrôle de leur contenu.

Les nouvelles conditions, qui entrent en vigueur le 8 août 2025 pour les utilisateurs existants, stipulent désormais que les utilisateurs accordent à WeTransfer “une licence libre de redevances pour utiliser votre contenu aux fins d’exploitation, de développement et d’amélioration du service“. L’entreprise a également supprimé toute mention de l’apprentissage automatique pour éviter de futures incompréhensions. Cette révision vise à rassurer les créateurs sur le fait que leurs œuvres ne seront pas utilisées pour alimenter des systèmes d’IA externes.

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Un juge fédéral américain vient de rendre une décision majeure en faveur des entreprises d’intelligence artificielle dans une affaire de droits d’auteur. Le juge William Alsup du district nord de la Californie a statué qu’Anthropic, la société derrière l’IA Claude, peut légalement entraîner ses modèles sur des œuvres protégées par le droit d’auteur sans obtenir l’autorisation des créateurs, invoquant la doctrine du “fair use” (usage équitable).

Cette décision fait suite à une plainte déposée par trois auteurs – Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson – qui accusaient Anthropic d’avoir utilisé leurs œuvres protégées pour entraîner ses modèles Claude sans permission. Les plaignants reprochaient notamment à l’entreprise d’avoir acheté des livres physiques, de les avoir numérisés et d’avoir intégré leur contenu dans ses processus d’entraînement.

Le juge Alsup a considéré que cette utilisation était “exceptionnellement transformative” et constituait un usage équitable selon la loi américaine sur le droit d’auteur. Il compare cette pratique à celle d’une personne qui lirait tous les classiques modernes, les mémoriserait et s’inspirerait ensuite de leur style pour créer quelque chose de nouveau, ce qui ne violerait pas le droit d’auteur. Selon lui, Anthropic utilise les œuvres existantes non pas pour les reproduire ou les remplacer, mais pour “prendre un virage radical et créer quelque chose de différent”.

Le magistrat rejette également l’argument selon lequel l’entraînement d’IA conduirait à “une explosion d’œuvres concurrentes”, comparant cette crainte à celle de se plaindre que former des écoliers à bien écrire créerait une concurrence déloyale.

Cependant, la décision n’est pas entièrement favorable à Anthropic. Le juge a identifié des problèmes concernant le stockage de plus de sept millions de livres piratés dans une bibliothèque centrale, pratique qui ne bénéficie pas de la protection du fair use. Un second procès aura lieu plus tard cette année pour déterminer les dommages-intérêts que l’entreprise pourrait devoir payer, pouvant atteindre 150 000 dollars par œuvre selon la loi américaine.

Cette décision historique pourrait influencer considérablement les futurs litiges opposant artistes et entreprises d’IA, offrant à ces dernières une défense juridique solide basée sur le fair use.

Article dans The Verge.

Mise à jour : Un juge fédéral américain vient à nouveau de donner raison à un autre acteur de l’IA, Meta, accusé de violation du droit d’auteur à travers l’utilisation d’œuvres à des fins d’entraînement de son modèle Llama sans la permission de leurs créateurs. C’est encore le fair use qui est mis en avant dans le rendu du jugement. Le juge a toutefois mentionné que « cette décision ne signifie pas que l’utilisation par Meta de contenus protégés par le droit d’auteur (…) est légale » et a par ailleurs adressé une mise en garde quant aux risques que pourrait faire peser l’IA sur l’économie du livre si elle « rend possible la création d’un flot potentiellement continu d’œuvres concurrentes qui pourraient nuire » à celle-ci.

Article dans Le Figaro.

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Le nom “Monopan 50” reflète ses caractéristiques techniques : film monochromatique, sensibilité ISO 50 et capacités panchromatiques permettant une sensibilité jusqu’à 780 nanomètres. Le terme “mono” fait également référence à la série d’appareils numériques Monochrom de Leica, lancée en 2012.

Cette annonce coïncide avec le centenaire de la photographie 35mm, débutée en 1925 avec le Leica I, premier appareil 35mm produit en série. Paradoxalement, bien que les photographes de l’époque appelaient déjà le format 35mm “film Leica”, les pellicules utilisées avec le Leica I étaient fabriquées par d’autres manufacturiers comme Kodak, Agfa et Perutz.

Le Monopan 50 promet un grain ultra-fin, une résolution jusqu’à 280 paires de lignes par millimètre et une gamme tonale exceptionnelle. Ces caractéristiques techniques s’alignent parfaitement avec la philosophie d’Oskar Barnack de “petit négatif, grande image” qui a donné naissance au concept Leica original.

La sensibilité relativement lente d’ISO 50 nécessitera l’utilisation d’objectifs lumineux ou de conditions d’éclairage optimales. Grâce à sa sensibilité spectrale étendue, cette pellicule convient également à la photographie infrarouge et s’associe harmonieusement avec les filtres colorés Leica.

Produite en Allemagne, la pellicule est particulièrement adaptée à la photographie de paysage, d’architecture, urbaine et de voyage. Elle reste compatible avec tous les révélateurs noir et blanc standard, offrant ainsi une flexibilité maximale aux photographes traditionnels.

Le Monopan 50 sera disponible mondialement à partir du 21 août 2025. La pellicule sera proposée dans quatre designs d’emballage vintage évoquant l’ère pionnière de la photographie 35mm.

Nous aurons plaisir à essayer ce nouveau film et à le comparer à un Adox HR-50 ou à un Ilford Pan F Plus 50. Les photos de promotion nous semblent un peu surexposées mais le grain a l’air très fin. Nous sommes aussi un peu sceptique sur le côté “monochromatique mais avec des caractéristiques panchromatiques“.

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Notre proposition de livres pour partir en vacances, sans publicité, sans marketing et sans influenceurs !

Notre équipe et notre comité de lecture ont sélectionné les 7 ouvrages suivants.

Nous avons essayé de choisir des ouvrages “vacances”, sans trop de prise de tête mais qui font quand même réfléchir.

À vous de voter pour l’ouvrage qui deviendra notre “Livre Juin 2025”.

Pour voter, envoyez-nous un email en mentionnant votre choix et vos commentaires !

Fendre l’azur d’Agathe Portail (Actes Sud) C’est une image forte qui a donné naissance à ce livre : celle d’un pilote de chasse revenant blessé à sa base, après avoir percuté un oiseau. Ce roman poétique explore les existences d’Anthony, Roxanne et Amaka à travers des descriptions exceptionnelles et une prose raffinée qui célèbre les forces de la nature. Les critiques saluent “un grand roman, porté par une grande plume” qui invite à prendre de la hauteur.

Taxi de nuit de Jack Clark (Sonatine) Un polar authentique et immersif qui nous installe dans les rues de Chicago avec Eddie Miles, chauffeur de taxi solitaire confronté à un mystérieux tueur. L’auteur, ancien chauffeur de taxi lui-même, offre un réalisme saisissant et une ambiance pesante particulièrement appréciée des amateurs de polar exigeant.

Sainte-Marie-des-Haines-Infinies de Louise Mey (La Ville Brûle) Ce récit à la première personne explore les pensées, les émotions et surtout la rage intérieure d’une adolescente confrontée au harcèlement dans une école privée. Un roman poignant sur l’adolescence qui refuse les facilités et questionne avec force les mécanismes de violence sociale.

Soma de Floriane Soulas (Robert Laffont) Risa est une cyborg, et à Néo Lutetia ce n’est pas courant. Ce court récit de science-fiction féministe mêle sororité et transhumanisme dans un univers cyberpunk intelligent. Les critiques y voient “un texte profond et intime qui remue, bouleverse, questionne” et confirment l’autrice comme l’une des meilleures du genre en France.

Toutes les époques sont dégueulasses de Laure Murat (Verdier) Ce court essai revient sur les polémiques récentes autour des rééditions de livres retravaillés pour convenir à l’esprit du temps. Une réflexion nuancée et scrupuleuse sur la réécriture, les sensitivity readers et les enjeux contemporains de l’édition qui dépasse les polémiques superficielles.

You + Alaska de Maya Brent (Addictives) Un roman d’amour contemporain qui évite les facilités du genre grâce à des personnages complexes et une intrigue bien menée. L’Alaska devient le décor d’une relation tumultueuse où “rien n’est facile, rien n’est acquis, où les sentiments nous prennent de plein fouet“.

Le Duc de Matteo Melchiorre (Métaillé) Tout oppose cet aristocrate déchu à ce patriarche paysan dans une vallée alpine, révélant un conflit séculaire entre lignées rivales à travers une intrigue dense et maîtrisée. L’auteur excelle dans l’art de la tension narrative avec une écriture ciselée qui restitue sans emphase la dureté d’un monde montagnard en déclin. Seules les figures féminines apportent une touche d’humanité.

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Des acteurs majeurs dans la distribution

Audible d’Amazon reste le leader incontournable du marché, proposant le plus vaste catalogue et la meilleure visibilité. Apple Books offre une intégration parfaite avec l’écosystème Apple et touche une audience premium. Google Play Books permet d’atteindre les utilisateurs Android dans le monde entier, tandis que Spotify a récemment élargi son offre aux audiobooks, exploitant sa base d’utilisateurs massive.

D’autres plate-formes spécialisées ou émergentes complètent ce paysage : Storytel, Kobo Audiobooks de Rakuten, Scribd avec son modèle d’abonnement illimité, Audioteka et Lizzie avec leur contenu francophone, Libro.fm, Hoopla ou Downpour.

Pourquoi considérer l’Audiobook ?

La distribution audio d’un livre représente bien plus qu’une simple adaptation : c’est une véritable renaissance de son contenu. L’audience des audiobooks connaît une croissance exponentielle, touchant particulièrement les actifs urbains, les parents débordés et tous ceux qui transforment leurs trajets quotidiens en moments d’apprentissage ou d’évasion. En proposant un livre au format audio, un auteur va toucher un public qui n’aurait peut-être jamais découvert son œuvre autrement.

L’audiobook démultiplie également les canaux de distribution, créant autant d’opportunités de générer des revenus complémentaires. Cette diversification des sources de revenus devient cruciale dans l’économie actuelle du livre, où la concurrence s’intensifie constamment.

L’aspect émotionnel constitue un autre avantage majeur souvent sous-estimé. La voix d’un narrateur professionnel, ajoute une dimension humaine unique à un texte. Les nuances d’intonation, les pauses calculées et l’expression orale donnent vie aux personnages et aux idées d’une manière que l’écrit seul ne peut égaler. Cette intimité particulière crée un lien plus fort avec l’auteur, son audience et renforce l’impact de l’ouvrage.

Enfin, l’audiobook s’inscrit parfaitement dans les tendances d’accessibilité actuelles. Il permet aux personnes malvoyantes ou dyslexiques d’accéder pleinement à des livres, élargissant ainsi l’impact social tout en respectant les valeurs d’inclusion qui caractérisent notre époque.

Notre service de transcription audio

Que vous soyez éditeur ou auteur auto-édité, transformer votre manuscrit en audiobook professionnel nécessite une expertise technique et éditoriale pointue. C’est précisément là que notre service de transcription audio intervient pour vous accompagner dans cette démarche ambitieuse.

Notre équipe combine technologie de pointe et savoir-faire humain pour créer des audiobooks d’exception. Nous comprenons que chaque livre possède sa propre personnalité, son rythme unique et ses subtilités particulières. C’est pourquoi notre processus commence toujours par une analyse approfondie de votre œuvre pour identifier le style narratif le mieux adapté.

Nos narrateurs professionnels, sélectionnés selon le genre et le ton de votre livre, apportent leur expertise vocale pour sublimer votre texte. Que votre ouvrage soit un roman captivant, un essai technique ou un guide pratique, nous disposons des talents appropriés pour donner vie à vos mots avec la justesse qu’ils méritent.

Pas de place aux voix synthétiques ou à l’IA qui adapte des voix humaines, nous travaillons sur l’humain avec des humains.

La qualité technique reste notre priorité absolue. Nous utilisons des équipements d’enregistrement de niveau professionnel, garantissant une qualité sonore irréprochable. Notre processus de post-production inclut l’édition minutieuse, la correction des imperfections et l’optimisation du rendu final selon les standards de l’industrie.

Nous gérons également tous les aspects techniques et commerciaux de la distribution, depuis le formatage spécialisé jusqu’à la création des métadonnées nécessaires pour les principales plateformes et bien évidemment la mise en vente sur les principales plates-formes de livres audio. Cette prise en charge complète vous permet de vous concentrer sur l’essentiel : votre création littéraire.

Faire confiance à notre service de transcription audio, c’est choisir un partenariat qui transformera votre vision littéraire en expérience audio mémorable, ouvrant ainsi de nouveaux horizons à vos oeuvres littéraires.

En savoir plus.

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Avec un poids de seulement 361 grammes batterie incluse, le V480 délivre néanmoins une puissance considérable avec un nombre guide approximatif de 50 (ISO 100, 105mm). Cette combinaison le rend particulièrement adapté aux photographes d’événements, portraitistes et créateurs qui travaillent dans des conditions exigeantes où l’encombrement doit rester minimal.

La tête du flash offre une articulation généreuse, pivotant de -7° à 120° verticalement et sur 330° horizontalement, permettant des techniques de réflexion créatives sur les murs et plafonds. Le zoom automatique ou manuel couvre une plage focale de 24 à 105mm, complété par un panneau de rattrapage intégré et un diffuseur grand-angle qui étendent les possibilités d’éclairage sans modificateurs externes.

L’autonomie constitue un point fort majeur grâce à sa batterie lithium-ion de 7,2V et 2200mAh, capable de fournir jusqu’à 650 éclairs à pleine puissance avec un temps de recyclage de seulement 1,7 seconde. La recharge s’effectue via USB-C pour plus de praticité. Le flash supporte la synchronisation haute vitesse jusqu’à 1/8000s (HSS), la synchronisation au second rideau, le mode stroboscopique et le TTL automatique avec compensation d’exposition de ±3 EV.

L’interface utilisateur mise sur un écran tactile couleur de deux pouces accompagné de boutons tactiles, permettant des ajustements rapides et intuitifs par glissement, tapotement ou pression. Une fonctionnalité remarquable est l’affichage en temps réel de la portée effective du flash, outil précieux pour les techniques de réflexion et les compositions serrées.

Le système sans fil X intégré de 2,4 GHz permet au V480 de fonctionner comme émetteur et récepteur, autorisant un fonctionnement déporté jusqu’à 100 mètres. Compatible avec les transmetteurs XPro II, X2 et X3, il supporte 32 canaux et cinq groupes pour un contrôle complet des configurations multi-éclairage.

Une lampe de visée LED à 10 niveaux est intégrée, offrant une pré-visualisation précise du placement de la lumière. Le V480 est également compatible avec l’adaptateur S-R2, le kit d’accessoires magnétiques AK-R1 et les modificateurs à monture Bowens via le support S2.

Disponible pour moins de 200 euros en versions Canon, Nikon, Sony, Fujifilm et Olympus/Panasonic, le kit complet inclut le flash, la batterie, le câble USB-C, l’adaptateur secteur, un mini-pied, une pochette de protection et le manuel d’utilisation.

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Envie de découvrir des auteurs/autrices moins connu(e)s car ils ne bénéficient pas de l’énorme force marketing des grosses maisons d’édition ? Édité(e)s avec le coeur par des passionnés qui croient encore que le métier d’éditeur ne se résume pas à des prix prestigieux ou à des influenceurs grassement payés sur les réseaux sociaux.

Si vous vous reconnaissez dans cette vision, rejoignez le Club de lecture que nous lançons, dans un premier temps en Suisse romande, puis bientôt en France.

Un fonctionnement simple : chaque mois, nous proposons entre cinq et dix ouvrages qui viennent de sortir chez des éditeurs que nous connaissons pour la qualité de leur ligne éditoriale. Un sondage permet aux membres du club de lecture d’en sélectionner un qui leur est envoyé par la Poste. Le mois suivant, le club se réunit sur Genève ou Lausanne pour discuter de l’ouvrage.

Quelques petits plus : discussions avec des auteurs, invitations à des festivals du livre, dédicaces, etc…

Cliquer ici si vous êtes intéressé(e).

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Ces guides offrent une alternative rafraîchissante aux itinéraires Instagram parfaits et aux listes de destinations générées par intelligence artificielle. Ils privilégient les chemins moins fréquentés, ceux connus uniquement des habitants locaux, des artistes et des photographes analogiques qui arpentent ces rues avec leur regard particulier. L’objectif est de permettre aux voyageurs de découvrir l’atmosphère authentique de chaque lieu plutôt que de se contenter des attractions touristiques habituelles.

La plateforme propose déjà plus de trente guides couvrant des villes du monde entier, de Tokyo à Berlin en passant par Manille. Chaque guide constitue une véritable lettre d’amour personnelle à une destination, rédigée avec soin par des membres de la communauté Lomography qui partagent leur passion pour la narration visuelle et la photographie argentique.

Ce qui distingue ces guides, c’est leur approche photographique unique. Ils ne se contentent pas d’indiquer où aller, mais expliquent comment voir et photographier. Les lecteurs découvrent comment la lumière se comporte dans certaines rues à l’heure dorée ou pourquoi une pellicule vintage particulière convient parfaitement aux ciels nuageux d’Édimbourg.

Les guides incluent des conseils pratiques sur le matériel photographique adapté à chaque destination, des suggestions de laboratoires de développement locaux, de boutiques d’appareils analogiques, et des spots photo cachés connus seulement des initiés. Ils reflètent l’esprit de la photographie argentique : imprévisibilité, intimité et joie tactile de shooter à l’ancienne dans un monde numérique en constante accélération.

Cette initiative s’inscrit parfaitement dans la philosophie Lomography qui célèbre la spontanéité et la beauté unique de la photographie argentique, offrant aux photographes voyageurs une ressource vivante et évolutive basée sur de vraies expériences communautaires.

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Dans un monde où les équilibres géopolitiques se redessinent constamment, nous recherchons des œuvres audacieuses qui explorent les fractures de notre époque à travers le prisme de la fiction.

Nous attendons des récits qui interrogent les mécanismes du pouvoir contemporain et leurs dérives, qui explorent le multilatéralisme en crise dans les coulisses de l’ONU ou de l’Union européenne, qui dévoilent les rouages de la mondialisation où multinationales et paradis fiscaux dessinent une géographie invisible du pouvoir, qui interrogent un libéralisme débridé où la logique marchande pénètre tous les aspects de l’existence.

Le récit peut aussi plonger dans les mutations des communismes adaptés, de la Chine contemporaine aux mouvements néo-marxistes européens, ou dans les théocraties modernes où foi et politique s’articulent de manière complexe. Il peut analyser les nouveaux visages de l’autoritarisme, des régimes populistes aux techno-dictatures, et révéler les mécanismes par lesquels des pseudo-démocraties maintiennent une façade tout en vidant les institutions de leur substance.

Le roman doit s’appuyer sur des événements historiques documentés du XXe ou XXIe siècle. Que l’auteur choisisse la Guerre froide, l’effondrement de l’URSS, les révolutions arabes, la crise de 2008 ou la montée des populismes, sa fiction doit dialoguer avec l’histoire réelle.

Les protagonistes peuvent être entièrement fictifs ou inspirés de figures historiques, mais ils doivent incarner de manière convaincante les enjeux de leur époque. L’action peut se dérouler dans n’importe quel pays, à condition de révéler comment les enjeux locaux s’articulent avec les dynamiques globales.

Un parti pris politique affirmé est envisageable s’il est étayé par des informations contextuelles bien documentées.

Le manuscrit doit être rédigé en français. L’intrigue doit être suffisamment documentée pour emporter la conviction, mais assez accessible pour toucher un large public. Nous nous adressons autant aux écrivains confirmés qu’aux nouveaux talents, particulièrement ceux dont l’expertise professionnelle peut nourrir cette fiction.

Pour soumettre votre candidature, merci d’envoyer un synopsis détaillé de votre projet, accompagné d’un chapitre et d’une courte biographie, à manuscrits@advixo.com avant le 30 juin 2025.

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